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Bien que la catastrophe soit d'une ampleur nationale et qu'un "armistice politique" se soit fait jour, les commentateurs appellent à une plus grande concertation entre le parti gouvernemental et l'opposition. "Le temps presse, et le pays n'a pas de temps à dans des marchandages politiques", écrit, jeudi, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] dans un éditorial, le quotidien Asahi.
Selon un sondage de l'agence de presse [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Kyodo, publié dimanche 27 mars, 58,2 % des personnes interrogées désapprouvent la manière dont le gouvernement gère la crise à la centrale de Fukushima, tandis que 63,7 % estiment que le premier ministre - qui a tenu seulement deux [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] conférences de presse en trois semaines - manque de "leadership". En revanche, 57 % estiment que l'Etat a pris les mesures appropriées pour au secours des sinistrés. Outre le r?le des pompiers, l'action des 100 000 soldats déployés dans les zones dévastées est saluée par les sinistrés et relève le prestige d'une qui n'en a pas le nom puisqu'il s'agit de "forces [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] d'autodéfense". Un contraste entre la perception du et celle de l'Etat, révélateur d'une crise de confiance antérieure à la catastrophe [url=http://www.nsl.co.jp/jinzai/postmail.cgi]www.mansmanifesto.com 500 mil[/url] : les jours du gouvernement semblaient [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=220783463366]woolrich bologna Downloadable[/url] en effet comptés.
La brève visite du président à Tokyo contribuera-t-elle à l'image du premier ministre japonais, Naoto Kan, dont la gestion de la catastrophe n'a fait qu' un peu plus la popularité ?
Les "fronts" sur lesquels le gouvernement est appelé à sont si divers et les problèmes si [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] graves (étendue des régions sinistrées, nombre des victimes, accident nucléaire, conséquences économiques et financières...) que les critiques sont inévitables. Après donné une impression de flottement dans les premiers jours, la machine étatique s'est mise en marche et le gouvernement semble davantage ma?tre de la situation - la question cruciale du nucléaire mise à part - que ne le fut, par exemple, le cabinet du premier ministre au moment du séisme de Kobe en 1995 : certes dramatique (6 500 morts), le tremblement de terre n'avait alors frappé qu'une région géographiquement beaucoup plus restreinte sans que s'ajoute au désastre naturel un quelconque risque nucléaire.
Si M. Kan appara?t en retrait, et quelque peu isolé, la seule personnalité politique de poids est le secrétaire général et porte-parole du gouvernement, , qui fait régulièrement des points de presse : il répond avec sang-froid, et aussi précisément que possible, aux questions des journalistes, évitant l'alarmisme sans pour autant la gravité de la situation. Il jouit d'une bonne image dans l'opinion et sa popularité est grande, notamment [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] parmi les jeunes générations. Numéro deux du gouvernement, M. Edano est la cheville ouvrière de la mise en place des mesures prises par le gouvernement.
L'opposition lui a aussi [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] reproché de ne pas ordonné l'évacuation des populations dans un rayon entre 20 et 30 kilomètres autour de la centrale, un retard qualifié d'"irresponsable". L'organisation écologique Greenpeace a fait état d'une radioactivité dangereuse dans des villages à une dizaine de kilomètres à l'extérieur de la zone des 30 kilomètres et a demandé l'extension de la zone dangereuse. Mais l'Agence japonaise pour la sécurité industrielle et nucléaire (NISA) a jugé "non fiables" les mesures de Greenpeace.
Celui-ci essaie de répondre à l'inquiétude suscitée dans l'opinion par les carences et le laxisme en matière de surveillance par l'Etat des opérateurs nucléaires. Si, pour l'instant, une nationalisation de (Tepco), propriétaire et exploitant de la centrale de Fukushima, "n'est qu'une option", estime [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] M. Edano, car "il s'agit d'abord de résoudre les problèmes actuels", des [url=http://park19.wakwak.com/~takeda-kazu/cgi-bin/bbs/aska.cgi?res=24185]hollister Lalgèbre pour décor[/url] mesures [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] seront prises pour les normes de sécurité des centrales, a-t-il déclaré. Le porte-parole du gouvernement n'a en tout cas pas ménagé Tepco pour sa rétention de l'information et ses annonces erronées : "Ce sont là des erreurs [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister france[/url] impardonnables." Tepco, société cotée en et première compagnie d'électricité du , n'a plus aucun crédit auprès des investisseurs : ses actions ont perdu les trois quarts de leur valeur.
Naoto Kan n'est pas un grand communicant mais, du moins, son gouvernement semble face. Le premier ministre devrait se pour la première fois, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] le 2 avril, dans les régions sinistrées, notamment à .
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Au Parlement, M. Kan, qui a déclaré, lundi 28 mars, que le pays était en "alerte maximum" en raison de la situation extrêmement dangereuse à la centrale de Fukushima, a été vivement critiqué, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] mardi, par les députés de l'opposition pour sa gestion de la crise nucléaire. Il a d? présenter ses excuses pour tenu à le site de la centrale au lendemain du séisme - ce qui aurait retardé le lancement des opérations de refroidissement des réacteurs.