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A chaque place, un ordinateur fixe est à disposition des étudiants et, lorsque le formateur montre des documents, ils sont projetés directement sur les écrans. De même, une petite caméra permet [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] de ce que le professeur écrit. "Evidemment, rien ne vaut le contact , reconna?t Corinne Lamour, elle-même professeur à Audencia Nantes, mais on ne peut pas l'évolution des techniques." Bien [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]hogan outlet[/url] s?r, il a fallu les formateurs. "Pas toujours facile, reconna?t Valérie Le Cann, responsable du Collège doctoral international. Nous avons recruté quatreingénieurs pédagogiques." Elsa Chusseau est [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]giubbotti peuterey[/url] l'un d'entre eux: "Nous leur apprenons par exemple à dans la salle, à ne pas le dos aux étudiants, à ne pas qu'à ceux physiquement présents. L'objectif est de les et d'être là pour les à en compte le numérique dans leurs cours."
Ce campus numérique a précédé [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie and fitch[/url] l'Université européenne de Bretagne (UEB) : un p?le de recherche et d' qui regroupe 23 établissements dont 4 universités, 19 grandes écoles, organismes de recherche..., 72 000 étudiants, [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] 3 000 doctorants et 3 550 chercheurs et enseignants-chercheurs.
se cale dans son canapé, allume son ordinateur et se connecte à une plateforme de l'université Rennes-II où il est inscrit pour les cours de la licence professionnelle CIAN (convergence, Internet, audiovisuel numérique). En fait, les cours ont lieu à Saint-Brieuc mais lui habite Nancy. "Cette licence n'existe qu'à [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] Rennes. Je voulais vraiment la mais je ne pouvais pas Nancy", dit d'emblée le jeune homme de 24 ans. Et pour cause : il est à la tête d'une petite entreprise de communication visuelle.
En Bretagne, le numérique est une vieille tradition. C'est là que, dans les années 1990, le p?le de formation à distance a été créé avec le CNED. "Alors, quand l'Etat a lancé le plan Campus en 2008 [avec l'objectif de émerger 12 p?les universitaires d'excellence de niveau ], notre réponse a été numérique", explique , vice-président numérique de l'UEB.
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C'est gr?ce au campus numérique de que David peut ce programme unique en France. Mais, pour étudier à distance, il faut aussi une bonne dose de motivation. "Si on ne se fait pas son propre du temps, on coule." Sur les 34 étudiants de troisième année, ils étaient 17 à à distance en début d'année, deux ont déjà abandonné.
Le projet UEB C@mpus consiste à en réseau les établissements d'enseignement supérieur [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie uk[/url] de Bretagne. Il a été soutenu par les collectivités locales bretonnes qui le financent à parité avec l'Etat (30millions d'euros des deux c?tés). "La convention a été signée par l'Etat et l'appel d'offres est en cours de finalisation, indique Bernard Pouliquen, vice-président de la région Bretagne chargé de l'enseignement supérieur. Ce projet est ambitieux, notre objectif est évidemment d' plus d'étudiants dans ces établissements et de coopérer avec des universités francophones, en par exemple." En 2010, trois salles immersives d'une quinzaine de places ont été ouvertes à Brest, Lorient et Rennes. Co?t en équipement numérique : 200 000 euros. Début 2014, des salles de [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] télé-TD de 20 à 40 places (80 000 euros) et de télé-amphis de 50 à 180 places (150 000 euros) seront déployées. Le campus sera opérationnel début 2016. "A ce stade, nous aurons rationalisé notre offre de formations", dit Patrice Roturier.
TROIS SALLES IMMERSIVES OUVERTES? EN 2010 ? BREST, LORIENT [url=http://www.teamaxo.netii.net/index.php?site=forum_topic&topic=null]doudoune moncler homme Suspension des missions de[/url] ET RENNES
Pour quelques contacts avec les professeurs, David se connecte régulièrement aux classes virtuelles gr?ce à sa webcam. Un moment privilégié où étudiants et professeurs discutent. David se déplacera au total une dizaine de jours pendant l'année pour des travaux dirigés et... pour ses examens.
Pour , doctorante en de gestion, l'ouverture de ces salles immersives est une chance. Elle habite Vannes, est inscrite à Rennes-I et suis sa formation à Lorient. "Il faut trois heures et retour pour se à Rennes. Pas s?r que je me serais inscrite si je n'avais pas pu me à distance." L'expérience n'a rien à avec de la visioconférence classique : le son est fluide, l'image hyper nette et l'impression d'être dans la même salle que le professeur est surprenante.
Les étudiants qui apprennent à distance ne sont pas les seuls [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] à leur comportement. Pour les professeurs, sans ses étudiants implique aussi des modifications pédagogiques. "Je prépare encore davantage mes cours, confie ainsi Patrick Le Goff, responsable pédagogique [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] de la licence CIAN et enseignant en . Et, comme je sais aussi que la majorité de mes étudiants à distance ne posera pas de questions, je me [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] dois d'être le plus intelligible. Donc je projette, je fais , je fais ... bref, je multiplie les fa?ons d'accéder au contenu." Patrick Le Goff a ainsi scénarisé les modules d'analyse filmique : des séquences animées expliquent aux étudiants comment fonctionne un diaphragme, ou ce qu'est le champ-... A l'arrivée, les résultats des étudiants, qu'ils soient présents ou à distance, [url=http://www.move-grp.co.jp/p/postmail.cgi]jordan pas cher Tennis Nada[/url] sont les mêmes, assure Patrick Le Goff.
Avec la possibilité d' des étudiants issus des classes modestes et [url=http://honeybee-club.com/cgi/joyful6/joyful.cgi]outlet hogan Montebourg accus[/url] pour ceux qui travaillent de s' afin de leurs cours, l'un des avantages du campus numérique est de aux universités de des économies d'échelle. "En licence de droit, par exemple, les enseignants font deux fois le même cours, à et à Brest. Demain, ils tourneront une fois sur deux. La licence de droit co?tera donc deux fois moins cher et permettra aux établissements d' ailleurs", assure Patrice Roturier.