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L'éleveur a ainsi créé une mini-zone d'activité autour de son exploitation agricole. Le lisier de porc ne représente qu'un quart de l'alimentation de son méthaniseur, un autre quart est fourni par les déchets organiques livrés par Sita, la filiale de . Le reste, soit la moitié, provient de cultures dites [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] intercalaires, comme le tournesol, le pois ou l'orge, placées après ou avant un blé, par exemple.
"IL FAUT ARR?TER D' DU MAT?RIEL ALLEMAND"
Le plan n'évoque pas d'enveloppe budgétaire spécifique. Le ministère du redressement productif, , dit son concours à la structuration financière de la filière et au soutien à l'innovation et au financement des projets par le biais d'Oseo ou de la [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] Banque publique d'investissement. Seule précision : un fonds de 10 millions d'euros sera consacré à un appel à projets sur le thème de la gestion collective de l'azote.
Toutefois, le ministère de l'agriculture le reconna?t : la méthanisation ne supprime [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] pas la pollution liée à l'excès des effluents d'élevage. [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] Pas une molécule d'azote ne dispara?t dans le méthaniseur. L'azote se retrouve dans le résidu organique issu du processus de méthanisation, le "digestat", produit avec le biogaz. L'enjeu est de considérer ce digestat à composition agricole non pas comme un déchet, mais de lui une homologation pour qu'il puisse être vendu comme fertilisant par des agriculteurs ou des coopératives dans des régions très dépendantes des engrais chimiques.
Le second objectif est de développer "un modèle fran?ais de la méthanisation agricole pour [en] un complément de revenu pour les exploitations agricoles".
LE CO?T DE L'INVESTISSEMENT, UN DES PRINCIPAUX ?CUEILS
Selon l'Agence de l'environnement et de la ma?trise de l'énergie, qui participe au financement [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] des projets, on est passé de 10 dossiers d'installations en France en 2007, à 66 en 2011 [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] et à 92 en 2012. Cumulé, cela représente près de 200 installations. L'agence y a consacré 37 millions d'euros en 2012 et s'attend à une enveloppe comparable en 2013.
L'Agence de l'environnement et de la ma?trise de l'énergie vient de sept projets, en 2013, de petites installations con?ues par des fran?aises pour de la technologie accessible à plus d'exploitants agricoles.
Il a fallu , en 2006, la fixation d'un prix de rachat de l'électricité produite et surtout la revalorisation de ces tarifs en 2011, pour le mouvement de méthanisation en France. De même que la possibilité [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] donnée en 2011, d' le biogaz produit par le méthaniseur dans les réseaux de gaz naturel, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] en fixant un prix d'achat.
LA M?THANISATION NE SUPPRIME PAS LA POLLUTION
de lisier, de fumier ou de tout autre résidu de , c'est-à-dire la méthanisation agricole, cherche sa voie en France.
Ce sont des [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350296583336&ssPageName=STRK:MESE:IT]hollister pas cher De la monn[/url] installations de ce type, des projets de 2 à 2,5 millions d'euros, pour des puissances électriques de plus de 300 kilowatts-heure, que souhaite le plan du gouvernement. Des projets qui ne sont à la portée que de gros éleveurs, de groupements d'agriculteurs ou de coopératives.
Rien de comparable à ce qu'a réalisé , dans les Hautes-Pyrénées, en 2001. Ce pionnier a [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] investi 40 000 euros en concevant sa propre installation pour le fumier de ses chèvres. Eleveur "bio", il exploite le digestat comme engrais dans ses champs et vend son électricité pour 3 000 euros. Pour M. Lebbe, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] "il faut arrêter d' du matériel allemand, qui co?te deux fois plus cher car les moteurs sont surdimensionnés pour compte des mauvais rendements".
Le co?t de l'investissement reste un des principaux écueils. C'est ce que souligne , à la tête d'un gros élevage de porcs [url=http://social.classhubz.com/index.php?do=/blog/76816/louboutin-la-guerre-des-tablettes-destinÃ©es-aux-Ã©tudiants/]louboutin La guerre des tablettes destinées aux étudiants[/url] dans le Morbihan, chez qui M. Le Foll et Mme Batho devaient se pour [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] présenter leur plan. Il vient de une [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] deuxième tranche d'investissement dans son méthaniseur pour un co?t de 1,4 million d'euros, après un investissement initial de 800 000 euros. Il a renforcé la puissance de son cogénérateur qui produit de l'électricité à du biogaz. Il l'a porté à 350 kilowatts-heure.
La nouveauté du plan EMAA est de deux objectifs. Le premier est de l'azote organique issu des effluents d'élevage en excès dans certaines régions - comme dans le Grand Ouest où la densité des élevages porcins ou volaillers pose problème - et de réduire la de l'agriculture fran?aise à l'azote minéral dans d'autres zones.
Résultat, EDF va lui non plus 180 000 mais 380 000 euros pas an. "C'est ce qui fait la rentabilité du projet", affirme Jean-Marc Onno. Son installation produit aussi de la chaleur pour son élevage, ainsi que pour une champignonnière et un producteur d'algue alimentaire qui se sont implantés sur le site avec son soutien.
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Le gouvernement avait promis, lors de la conférence environnementale de septembre 2012, de [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi]air jordan pas cher Pourquoi [/url] un nouvel élan à ces initiatives. Stéphane Le Foll, ministre de l'agriculture, et Delphine Batho, ministre de l'écologie, ont présenté, vendredi 29 mars, le plan Energie méthanisation autonomie azote (EMAA). Ils reprennent le cap fixé lors du Grenelle de l'environnement : un parc installé de 1 000 unités de méthanisation agricole d'ici à 2020.