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A l'inverse, Google continue à des records : jeudi 19 juillet, il a communiqué une hausse de 28 % de son bénéfice net (à 925 millions de dollars) pour un chiffre d'affaires en croissance de 58 %, à 3,87 milliards de dollars. En , il pèse désormais presque cinq [url=http://fzxpf.com/guestbook.asp]woolrich s[/url] fois plus [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] que son grand rival... Jerry Yang, co-fondateur de Yahoo ! rappelé en juin au poste de PDG du portail (en remplacement de Terry Semel) ne minimise pas l'ampleur de sa t?che : " Il y a un écart certain entre là où nous sommes et là où nous devons aller", a-t-il reconnu, mardi 17 juillet.
Aujourd'hui, Yahoo ! perd aussi du terrain sur les ventes d'espaces publicitaires plus classiques (les "bannières"), notamment au profit des sites de socialisation (MySpace, ...) apparus ces deux ou trois dernières années, qui cassent les prix auprès des annonceurs.
Surtout, " Yahoo ! n'a pas su , au début des années 2000, de la popularité des liens sponsorisés, [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] qui représentent aujourd'hui une grande part de la croissance des dépenses publicitaires en ligne", selon Laurent Geffroy, consultant chez Greenwich Consulting. Les liens sponsorisés sont des mots-clés vendus aux annonceurs pour que leurs sites soient mis en valeur quand l'internaute fait [url=http://www.lc4z.com/E_GuestBook.asp]abercrombi[/url] une recherche.
Il semble par ailleurs d'autres axes de développement : la , l'édition de logiciels... Il rachète en moyenne une start-up tous les quinze jours ! Autre atout considérable sur un secteur qui bouge très vite et où la suprématie commerciale est liée à la capacité d' : Google est l'une des s les plus attirantes au monde pour les . Elle aurait re?u plus d'un million de candidatures en 2006.
FORTES CAPACIT?S D'INVESTISSEMENT
, le fossé entre les deux géants de l'Internet continue à se .
A l'époque, l'audience de Google (aussi fondée dans la Silicon Valley californienne, en 1998), [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] était encore confidentielle. Mais Yahoo ! a beaucoup souffert de l'éclatement de la bulle technologique, en 2000. En quelques mois, son cours de Bourse a perdu 90 % de sa valeur et ses profits ont été ramenés à zéro.
Le malaise persiste chez Yahoo !, [url=http://www.shewyne.com/moncleroutlet.html]moncler outlet[/url] avec un bénéfice à nouveau en baisse par rapport à l'année précédente (- 1,8 % sur un an, à 161 millions de dollars, soit 117 millions d'euros) et un chiffre d'affaires qui progresse moins vite que le marché publicitaire en ligne dans son ensemble (+ 8% sur un an, à 1,67 milliard).
Mais Google sera d'autant plus difficile à qu'il dispose aujourd'hui d'énormes capacités d'investissement, et qu'il ne s'en prive pas. Le groupe continue à son moteur de recherche, pierre angulaire de son modèle économique. En mai, il a lancé un moteur "universel" aux Etats-Unis, qui donne des réponses multimédias aux requêtes des internautes. Il travaille à la conception d'un moteur permettant de mélanger traductions et recherches. Il ne mollit pas non [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] plus du c?té de la publicité en ligne, avec l'acquisition récente de la régie DoubleClick, pour 3,1 milliards de dollars.
Attention tout de même à ne [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] pas Yahoo ! trop vite. Ses sites et ses services (notamment la messagerie) restent parmi les plus populaires de la toile.
Le portail a bien pris le virage du "web [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] 2.0" (l'Internet participatif, la nouvelle frontière de l'internet), gr?ce au lancement de services comme Flickr (partage de photos en ligne) ou Yahoo ! Answers (questions-réponses alimentées par les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] internautes). Et sa faiblesse actuelle - son retard dans l'"e-pub", modèle économique aujourd'hui privilégié du net - pourrait s'avérer un atout, si le marché publicitaire, réputé cyclique, venait à se .
A la fin des années 1990, Yahoo ! était une véritable ic?ne du web, et l'une des rares "start-up" Internet à de l'argent. Modeste annuaire de sites à ses débuts [url=http://www.shewyne.com/peutereyoutlet.html]peuterey sito ufficiale[/url] (1994), elle avait popularisé le concept du "portail" où l'on trouve à la fois du contenu éditorial (infos pratiques, actualités) [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] et des (, messageries...).
Ce n'est pas Google qui a inventé ce [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] format publicitaire (mais Overture, racheté par Yahoo ! en 2003). Pourtant, c'est lui qui a su le mieux en . "Le trait de génie de Google, explique M. Geffroy, c'est d' été en mesure, gr?ce à la supériorité technique de son moteur de recherche, de aux annonceurs des liens au plus près des internautes visés. Et d' con?u Adwords, un outil de gestion des campagnes publicitaires en ligne, gr?ce auquel les annonceurs peuvent mesurer le co?t de recrutement de leurs clients."
Pour son retard, le portail a racheté, en avril, 100 % du capital de Right Media, une place de marché permettant aux sites disposant d'espaces publicitaires invendus de des annonceurs. Il a surtout lancé "Panama", sa réponse au programme Adwords de Google, en février. [url=http://kenkyu.sakura.ne.jp/ogasawara/bbs/bbs.cgi]jordan pas cher Nouvelles aud[/url] L'outil est "prometteur mais ne compense pas à lui seul les faiblesses de Yahoo !", juge Todd Greenwald, de la banque californienne [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] Nollenberger Capital Partners, dans une note du 18 juillet.