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C'est en voyant les employés la queue en voiture pour chercher un sandwich que Christophe Boisselier décide de à Rennes, en 2009, Eaty.
En tout cas, cela ne semble pas décourager ceux qui souhaitent se dans la restauration mobile. Frédéric Fédière est quotidiennement contacté par des personnes intéressées par le concept et en quête de conseils.
"LONGUES D?MARCHES"
Le Camion qui fume n'est que le dernier venu dans la du "street-vending" (vente dans la rue). Du triporteur au fourgon, les supports divergent, mais le principe reste [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] le même : répondre, via la mobilité, à la [url=http://www.nhlhockey.fora.pl/rubbish,24/barbour-outlet-fitch-abaisse-la-note-de-six-pays-d,4492.html#6556]barbour outlet Fitch abaisse la note de six pays d[/url] difficulté de un repas associant qualité et prix lorsqu'on travaille en ville.
Si le concept séduit, c'est aussi qu'il comporte de nombreux avantages pour un entrepreneur. "Le c?té tout-en-un est agréable et rassurant. Dans quelques mètres carrés, j'ai toute ma logistique pour un client, témoigne Tom Wallis, gérant d'Alto Café. Et c'est moins risqué du point de vue de l'installation : [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] si on s'est trompé d'endroit, on peut toujours ."
L'idée est séduisante. "Avec un petit apport, on peut son commerce, à condition de bien [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] . Beaucoup de ch?meurs y pensent : la mairie est débordée de demandes", explique le fondateur d'Eaty.
CANTINE ITIN?RANTE
Depuis, ses triporteurs sillonnent la ville en proposant des plats locaux pour le déjeuner. Avec é, enseigne mobile de café lancée dès 2005, Eaty fait figure de pionnier. Mais l'idée ne tarde pas à être reprise. "Un ancien employé d'Eaty s'est réapproprié le concept, une autre [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] personne a lancé un camion à café", témoigne .
Pas [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] facile en effet de fidéliser la clientèle lorsqu'on [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] est ambulant, en particulier avec un concept nouveau. Le créateur d'Eaty en témoigne. Désormais per?u comme "le petit bistrot du coin", son triporteur a subi une longue période d'observation sceptique. "L'innovation, on s'en méfie. Les clients ont commencé à au bout d'un an, un an et demi." Sans des réticences des restaurateurs traditionnels. "Nous sommes per?us comme des petits concurrents, affirme . Et les restaurateurs ne s'approprient pas cette tendance, alors qu'ils pourraient eux aussi développer le concept."
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LE CAMION QUI FUME
suivent les dé du poids lourd et des burgers qu'il vend. Des burgers, mais pas n'importe lesquels : boeuf haché maison, pain préparé par un ... le camion a été reconverti en cuisine de .
Le fondateur d'Eaty a, lui, un avis plus mitigé : "On ne peut pas copier-coller chez nous ce qui [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] se fait à l'étranger, affirme Christophe Boisselier. Manger en marchant n'est pas une pratique répandue en France, et le public reste très exigeant sur la qualité du plat. Le "street-vending" va se développer uniquement s'il est fait à la fran?aise".
Flexible [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] et mobile, le "street-vending" comporte aussi son lot de contraintes. Notamment en ce qui concerne les autorisations. "Quand on est dans un lieu privé, il faut l'autorisation du propriétaire, qui n'est pas difficile à . C'est une autre affaire lorsqu'il s'agit des lieux publics : il faut alors s' à la mairie, ou au commissariat concerné, et les démarches peuvent être très longues", raconte Frédéric Fédière, cogérant du Camion qui fume.
Mais le gérant d'Alto Café a appris à ses dépens - des débuts un peu difficiles - que la mobilité ne marche que si elle est "sédentarisée". "C'est bien d'être dans la rue, mais à condition de de la qualité et de les codes traditionnels [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] de la restauration : il faut toujours être dans les mêmes endroits à la même heure".
Christophe Certain a lui [url=http://bj-huahui.com/news/html/?2783.html]peuterey Swiftest Solutions To Shed Weight Using Todays Technology[/url] aussi eu vent de nombreux projets concurrents. Mais le cofondateur de Vélissime ne croit pas au développement du "street-vending". "Les autorisations des pouvoirs publics sont très contraignantes, voire inexistantes, affirme-t-il. Et il y a peu d'acteurs crédibles qui s'installent dans la rue."
Les exemples de succès ne manquent pas. Lancée fin 2010, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] la cantine itinérante Vélissime se vante aujourd'hui d' plus de 50 entreprises partenaires, dont de très grosses PME et des du CAC 40. [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] Tous les jours, les vélos de la jeune entreprise apportent entre 700 et 1 000 plats chauds aux employés des s qui ont choisi Vélissime comme substitut à un restaurant d'entreprise.