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Pour mon homme à aux t?ches domestiques, j'adopte la méthode des machos : je me révèle [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] absolument incompétente en matière de repassage (une br?lure de chemise suffit à le ), de ménage ( un sac d'aspirateur engorgé de divers petits objets est dissuasif...) ou de cuisine ( un plat est à la portée de tout le monde !). Résultat : après une journée de travail, lorsque je rentre à la maison, je mets les pieds sous la table et me fait :-). Il me reste suffisamment à : vérifier les devoirs des enfants, le choix de leurs vêtements, leurs [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich[/url] différentes activités, etc...
à un partage équitable des t?ches domestiques et parentales – encore assumées à 80 % par les femmes – au sein de leur couple. De nombreuses femmes – combatives, découragées ou très g?tées – ont répondu à notre appel. Du c?té des hommes, seuls les époux exemplaires se sont manifestés.
Le problème du partage des t?ches ménagères s'est toujours posé très vivement chez moi. Mon père, fils unique, trouvait tout naturel que le travail soit fait chez lui, sans lui, comme il l'était chez ses parents. Aujourd'hui encore, il vit en irresponsable sans se compte des heures de travail qui sont nécessaires à son confort. J'ai compris très t?t ce fonctionnement et je me [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] suis promis que cela ne m'arriverait pas.
Ayant eu une expérience de vie de couple durant dix ans, je peux que les t?ches ménagères multiples (ménage, courses, papiers, cuisine) ont toujours été à ma charge malgré le fait que je travaille à temps plein. Pour que mon compagnon en prenne conscience, j'ai entamé une grève de "madame à tout faire" : rien n'y a fait, rien ne se lavait ou ne se rangeait par magie... malheureusement !
En reprise d'études tardives, je pensais une petite solidarité conjugale : peine perdue. Maintenant, j'espère juste une situation qui me permette de "m'offrir" quelques heures d'aide en plus. Surtout, je mise sur l'éducation : j'ai appris à mon fils adolescent à en charge sa part des t?ches domestiques et à cette corvée comme un signe de modernité et d'émancipation. D'ailleurs, c'est souvent lui qui [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]www.teatrodeoro.com/hollisterde.php[/url] proteste quand mon mari est vautré sur le canapé tandis que nous nous activons. Les t?ches domestiques sont le sujet numéro un des tensions à la maison...
Quand les amis ou ma viennent à la maison, je vois un peu de gêne dans leur regard, et de la pitié pour l'homme qui a pris la place de la femme. Je ne suis pas soumis à ma femme, mais je n'ai aucune reconnaissance. A tel point que, lors d'une discussion un peu houleuse, mon beau-père m'a traité de "bonniche" et de "bon chien fidèle à sa femme". J'en ai pleuré le soir même, estimant ma situation dégradante ; ma femme ne comprenant pas ma souffrance a souri en disant que c'était de l'humour. Cette situation injuste devient tellement insupportable que nous envisageons de nous séparer.
Trente ans de guerre des t?ches ménagères sans victoire notable. J'ai tout essayé : la complicité, la grève totale, le travail d'équipe avec tableau noir. Rien n'y fait et c'est encore pire avec une ménagère : sa présence permet à mon mari de se bonne conscience et d'en encore moins.
Quand j'ai commencé à fréquenter mon copain, fils unique lui aussi, nous habitions chacun chez nos parents. Quand il a pris un appartement et m'a proposé de avec lui, j'ai refusé : je voulais qu'il gagne son autonomie et qu'il voit ce que c'était de en adulte. Ensuite, il a évidemment commencé par que tout soit propre et parfait. Je lui ai fait qu'il fallait du travail pour cela et je lui ai demandé comment il comptait le répartir (nous travaillons tous les deux). Il a établi une règle : l'un faisait la cuisine, l'autre la vaisselle. J'ai accepté et fait la vaisselle aussi longtemps qu'il a fait la cuisine. Le jour où j'ai fait la cuisine, il a essayé d'échapper [url=http://hccweb1.bai.ne.jp/~hcj72101/cgi-bin/aska.cgi]doudoune moncler Louis Vuitto[/url] à la vaisselle, mais j'ai été ferme.
C'est bien simple : pas une "t?che domestique et parentale" ne m'échappe. Pas une seule. C'est mon combat pour une meilleure condition de la femme dans notre société. C'est ma fa?on d'être féministe. A l'instar de mon épouse, j'amène les enfants à l'école et à la crèche, je vais les ; je leur donne le bain et leur lis des histoires le soir ; j'assiste ma fille dans ses devoirs... Voilà, parmi d'autres, les t?ches partagées. Et puis il y a ce que je suis le seul à : les plats sucrés, les repas dans la semaine, les enfants à leurs activités extra-ceci ou extra-cela, l'organisation des anniversaires...
N'ayant que trente ans, je me suis rendue compte que le modèle de vie familiale de mes parents est encore le même à mon époque bien que je sois une femme libérée ! La chose la plus frappante est que tout ce que je pouvais était considéré comme normal comme si nous, les femmes, étions génétiquement prédestinées à être des h?tesses de maison parfaites, soumises et [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] surtout ravies de l'être !
L'AVIS DES FEMMES
C'est vraiment LA t?che non partagée : la prise en charge du linge. Nous sommes cinq à la maison, dont trois ados de 15, 17, et 19 ans – cela fait du volume. Pourtant, bien que tout le monde salisse, une seule personne lave, sèche et repasse : moi. En vingt ans, je suis juste parvenue à ce que mon mari donne le repassage de ses chemises au pressing, et à ce que les enfants rangent leur pile repassée chacun dans leur placard. Et, bien s?r, je travaille à temps complet à l'extérieur... Je suis l'elfe de maison !
Je suis en couple depuis six ans. Ma femme et moi avons, dès le début de notre emménagement, décidé de les t?ches de fa?on équitable, à celui qui a fait à se dispense de la vaisselle, et vice-versa. Bien s?r, avec l'arrivée de nos jumeaux, nous avons remis en question ce partage, de sorte que j'assume les t?ches du quotidien, pendant qu'elle s'occupe des enfants. Mais cela n'a plus du tout changé. J'avoue que ce n'est pas toujours facile. Depuis trois ans, nous avons régulièrement des disputes, car je trouve qu'elle prend trop ses aises. Je suis au ch?mage depuis deux ans, et je dois m' de tout, alors qu'elle, en rentrant du boulot, se met devant la télé et s'amuse avec les enfants.
Dans mon couple (on vit ensemble depuis un an), les t?ches sont très bien partagées : les courses ensemble (quand c'est possible), la cuisine en alternance (un repas sur deux), il s'occupe des poubelles (je n'aime pas ?a), je fais plus la vaisselle des gros ustensiles de cuisines (pour le reste, on a une machine) et on fait le ménage à deux, le linge à deux, etc. Je crois que c'est aussi une histoire de génération : il a vécu seul longtemps, a appris seul. Je n'ai rien eu ni à ni à , et ?a m'a plu chez lui . C'était quelque chose d'important pour moi, d'autant plus que mon père a toujours beaucoup participé. Et c'est le cas de beaucoup de mes amis hommes. Je crois que la génération des moins de 30 ans sera plus égalitaire que celle d'avant, et moins que celle d'après !... Enfin, j'espère.
L'AVIS DES HOMMES
Depuis cinq ans, [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]peuterey outlet[/url] nous alternons la responsabilité de la maison. Chacun sa semaine. Celui (ou celle) qui est "en charge" s'occupe de tout : les menus, les courses, les dé des enfants, les autorisations de sorties, etc. L'autre contribue à ce qu'on lui demande, dans la mesure du possible. Et quand ?a coince, c'est celui qui est "en charge" qui se débrouille.
Je tiens à un témoignage contraire à la "normale". A la maison, à part la cuisine et le nettoyage des sanitaires, tout est fait par mon mari. C'est notre accord : la personne la plus présente à la maison fait le plus. Il est professeur, je suis documentaliste. Il travaille à la maison, je pars à 8 heures et ne reviens qu'à 19 heures. Pendant l'année de ch?mage que j'ai vécue avant de mon poste actuel, je me suis occupée de la maison en grande partie. Maintenant, entre deux copies à ou des cours à préparer, c'est lui qui fait l'essentiel du ménage. Je me fais même réprimander de temps à autre sur mon manque de participation. Il faut que j'ai horreur de ces t?ches ménagères, à part la préparation des repas.
Après des années de lutte quotidienne pour un partage égalitaire couronnées par des succès éphémères et de nombreux moments de résignation, la seule solution, au moins porteuse d'étonnement et d'incompréhension, qui vaille pour ces messieurs : l'inertie !
Je trouve inconcevable en 2011 que des femmes qui travaillent autant que des hommes fassent 80 % des t?ches domestiques. Les gars, soyez sérieux : les t?ches domestiques sont trop sérieuses pour être confiées à des femmes ! Avec un bon album de funk ou de salsa en fond, les t?ches ménagères deviennent même un moment où on peut aussi se la tête et se détendre.
Simplement, il s'occupe de . Il joue de [url=http://www.burnabystorage.com/barbour.php]barbour sito ufficiale[/url] sa force d'inertie. Je fais tout et pense à tout, parce qu'il s'en fiche si la maison est en désordre. Et si notre fils n'a pas de couche, c'est mon problème parce que je me préoccupe des détails. Du coup, il n'a pas besoin de s'en , il sait que j'y veillerai, et se [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] détache totalement de ces sujets pour se sur moi.
Je connais beaucoup de jeunes couples d'amis qui sont dans la même situation, où les femmes se désintéressent beaucoup plus du ménage que les hommes. Chez mes parents, le partage était tout à fait équitable, cela a peut-être joué ?
Cette organisation exclut : les poubelles et le recyclage (c'est lui) et le linge (c'est elle). Au début, j'étais obligée de de la maison pour le patauger, des recettes à sa mère, se en cuisine à 13 heures (pour un repas servi à 15, forcément), etc. Depuis, j'en ai pris mon parti, et je me repose, tout simplement.
Né en 1964, j'ai été élevé par ma mère avec les mêmes devoirs que ma s?ur alors que mon père ne faisait rien. Résultat, j'ai toujours fait du ménage, de la cuisine... et ma femme peut ma mère. A du moment où la femme travaille, il est normal que le partage se fasse sur [url=http://bbs.snupg.com/home.php?mod=space&uid=121898][/url] une base 50-50. Mais au-delà de la simple répartition, le plus important est que la femme puisse ponctuellement, voire régulièrement, l'esprit totalement libéré : l'homme doit être capable de s' seul des enfants, toute une semaine s'il le faut, d' des de menu, de seul des courses intelligentes, de la cuisine, la vaisselle, les comptes, ... afin que la femme puisse se les pieds sous la table certains jours.
Je lui demande de des choses et il les fait parce qu'il a compris que c'est important pour moi. Aujourd'hui, il a fait des progrès, et moi des compromis. Je pense que je me suis fait et j'ai appris moi aussi à l'écouter. Le ménage ne doit pas être un point de friction, mais d'entente.
Je partage avec ma femme depuis notre mariage (et même avant) les t?ches ménagères, et le moins que l'on puisse , c'est que cela n'est pas particulièrement bien considéré par mon entourage et professionnel. Les hommes qui ont l'habitude de tout faire à leur compagne déconsidèrent totalement ceux qui réduisent leur temps libre ou leur [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] temps de travail à les courses, le ménage, la lessive et à s' d'un enfant. Chose encore plus étrange : les femmes réagissent exactement de la même fa?on.
Le mari : – Tu as envoyé la lettre comme je te l'ai demandé, chérie ?
L'ado : – Tu ne m'accompagnes pas à l'aéroport, [url=http://www.corsodiesperanto.it/hoganit.html]hogan outlet[/url] maman ? Mais qui va mes valises ?
Le jeune [url=http://sandpiperneedlework.net/#comment-15888]Cease Your Dating Worries With Plentyoffish.com[/url] adulte : – Y a plus rien à dans cette maison...
Joséphine (la chatte) : – Miaou...
J'ai quitté mon mari il y a six ans. J'ai la garde de nos deux enfants ?gés de 12 et 14 ans. Le père ne verse aucune pension alimentaire. J'ai un poste à plein temps, très prenant. Je n'ai pas de femme de ménage ou de nounou. Je n'ai jamais eu de compagnon après la rupture [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] d'avec mon mari. Je fais tout, toute seule. Le soir, je suis morte de fatigue dès 21 heures. Le matin, je suis debout à 5 heures. J'ai choisi cette vie, si on peut . Mais mon Dieu, que c'est difficile...
La plupart des hommes effectuent moins de t?ches car ils se cachent derrière leurs responsabilités au travail, leurs horaires, etc. Combien d'hommes acceptent réellement de moins que leur femme ? Combien d'hommes acceptent de à temps partiel [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] ? Combien d'hommes prennent un congé parental ? Je travaille à 40%. J'ai donc du temps pour les courses, pour préparer les repas, pour m' des enfants etc. Je gagne beaucoup moins que ma femme, mais moi, cela ne me pose aucun problème.
Je ne me résigne pas, mais l'inertie d'un quinquagénaire éduqué par une mère au foyer et deux s?urs a?nées pleines de sollicitude est désespérante. Surtout quand dans son job, il y a toujours des gens autour de lui pour l'...
Nous venons d' un bébé et travaillons tous les deux. Je suis très à cheval sur les droits des femmes, l'égalité. Toutes les injustices faites aux femmes m'énervent. J'ai une belle carrière et nous sommes tous les deux très dipl?més, milieu de trentaine. Pourtant, je me retrouve chez moi avec un mari qui ne fait absolument rien en ce qui concerne notre fils (se la nuit, un biberon, une couche, une course ou aux interrogations sur les poussettes, etc.).
De mon expérience avec les femmes de mon entourage, le chiffre de 80 % des t?ches domestiques et parentales effectuées par les femmes me para?t délirant. Dans mon couple, les t?ches sont partagées, je dirais même que j'en effectue 70 % et pourtant je suis un homme !